27 mai 2019 : Sacrement de l'Eucharistie
Sacrement de l’Eucharistie le 27 mai pour 14 enfants :
Inscrire son enfant au caté, c'est lui permettre de rencontrer Jésus et de découvrir que Dieu aime chacun d'entre nous.
C'est faire l'expérience de l'Amour de Dieu... prier et célébrer... recevoir les sacrements... rencontrer de nouveaux amis...
Le caté un moment privilégié qui donne du goût à la vie, qui donne du sens à la vie
Il n'y a pas d'âge pour commencer la catéchèse. Chacun est accueilli avec les enfants de son âge, baptisé ou non.
La catéchèse peut commencer dès 7 ans quelle que soit l'école (publique, catholique ou spécialisée).
Avant 7 ans, il s'agit de l'éveil à la foi.
Pour les enfants qui désireraient commencer cette année, il est encore possible de s'inscrire : il n'est jamais trop tard !
Fêtes de la foi :
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Sacrement de l’Eucharistie le 27 mai pour 14 enfants :
Remise du Notre Père le 5 mai à 12 enfants de CE1.
Le samedi 30 mars, les jeunes de Caudan et Lanester se préparant à la confirmation se sont retrouvés au Grand Chêne à Caudan de 9h30 à 16h. Nous nous préparons depuis le mois d’octobre à recevoir le sacrement de confirmation. Le moment de la célébration approche. Cela va être un grand jour pour nos jeunes et pour les adultes qui les ont accompagnés toute l’année.
Il est important de comprendre la signification de tout ce que nous allons célébrer le 2 juin : les gestes, les paroles, les actes. Ainsi, nous pourrons participer de manière adéquate et vivre pleinement ce beau moment. De cette manière ce sera une célébration qui va laisser une trace en nous.
La confirmation est une fête, puisque nous y trouvons :
Nous formons une communauté : la confirmation est un acte d’Église. C’est pour cela que sont présents la communauté chrétienne et l’évêque.
La célébration de la confirmation est présidée par l’évêque ou par son vicaire. En effet l’évêque est le successeur des apôtres, il préside la communauté diocésaine. Il nous accueille et nous relie plus pleinement à l’Église et nous envoie comme témoins du Christ.
Les parrain et marraine nous accompagnent de manière spéciale et nous présentent à la confirmation. Ils exercent un rôle de premier plan. Ils sont des guides, des appuis et un encouragement pour notre croissance dans la foi et pour l’accomplissement des engagements de la confirmation.
Le Saint-Chrême est composé d’huile mélangée à du parfum. Il est consacré par l’évêque le jour de la messe chrismale ce mardi 16 avril. À travers cette onction, nous sommes marqués par l’Esprit qui nous pénètre et nous emplit de ses dons. Nous sommes consacrés au Christ et destinés à être ses témoins.
Attitudes : accueil de l’Esprit qui vient sur nous, demande forte qu’Il nous comble de ses dons et de ses fruits.
Mots de jeunes :
Merci aux jeunes et adultes qui ont répondu présents pour nos rencontres avec les confirmands.
Le dimanche 17 mars, les enfants de CE1 en marche vers la première communion se sont retrouvés à l’église avec leurs aînés dans la foi. Un moment de partage, de convivialité, d’échanges.
Que vivons-nous le dimanche ? Moment de détente ? Promenade ? Jardinage ? Fête de famille ? Liturgie de la Parole ? Partage avec nos ainés dans la foi ? Éveil à la foi ?
Si le dimanche était comme un rendez-vous ? Le dimanche est-il la fin du week-end ou le premier jour de la semaine ? Rendez-vous, oui mais : « On n’arrête pas de courir », « voilà encore un dimanche de passé », « il faudrait prendre du temps ».
Ce temps nous le prenons un dimanche par mois avec les enfants des groupes de catéchèse, un beau moment de réflexion, du temps pour les écouter, des équipes pour les aider à comprendre les textes du jour. C’est une chance pour les petits et les grands.
Les CE1 et les aînés dans la foi ont pu travailler la prière du « Notre Père » ce dimanche 17 mars, prière que Jésus a apprise à ses disciples et qui s’adresse aussi à nous !
Au mois de mai, les enfants recevront lors de la célébration du « Notre Père » un support avec la prière, confectionné par leur aîné. Tu te poses beaucoup de questions et c’est normal. C’est vrai, mais au fur et à mesure, vous allez vous familiariser avec les rites et gestes de la liturgie. Ces rites et ces gestes prennent racine dans les textes de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament.
Comprendre et vivre les différents moments de la messe t’aideront à découvrir que la messe est importante, qu’elle aide à vivre en chrétiens jour après jour.
Un grand merci à toutes les personnes qui s’investissent pour m’aider.
Le samedi 9 mars les enfants en marche vers la première communion se sont retrouvés de 14h à 17h au presbytère.
Un chemin à parcourir vers Pâques : Le temps du carême prépare les chrétiens à fêter Pâques, la résurrection de Jésus et à travers elle, l’espérance pour les hommes d’un mystérieux passage de la mort à la vie. Il s’étend sur 5 semaines (du Mercredi des Cendres au Samedi Saint) : 40 jours pour se convertir, pour revenir vers Dieu.
40 jours : Dans la bible, le chiffre 40 symbolise un temps très long : 40 jours de pluie au temps de Noé, 40 années d’errance du peuple de Dieu dans le désert, 40 jours au désert pour Jésus.
Un temps de conversion : Comme le décline l’évangile du Mercredi des Cendres, le carême invite au partage, à la prière et à l’aumône. Un moment de réflexion pour les enfants pour réfléchir à la façon dont ils vont essayer de changer leurs habitudes.
Le jeûne : C’est une dimension du carême abordée avec les enfants. Avec des mots simples pour leur expliquer que jeûner c’est se priver de quelque chose qui est important pour eux. C’est le moment de les aider à découvrir que certains besoins sont moins nécessaires qu’ils ne le croient.
Ils ont vite donné des exemples :
La prière : C’est un moment important pour eux. C’est le moment ou on laisse monter les mots d’une prière qui fait écho à la parole entendue. On rend grâce à Dieu pour ses bienfaits, on lui parle de ceux qu’on aime. On lui confie nos préoccupations du jour, nos espoirs, on lui demande son aide, son pardon. Cette partie de la prière se fait en silence, ce qui permet un dialogue personnel avec Dieu.
Pour marquer ce temps personnel, les enfants ferment les yeux.
La prière est un moment pour nous confier, remercier pour notre journée, lui dire notre peine ou tout simplement dire le « Notre Père ».
Nous avons pris un temps avant de terminer notre temps fort dans notre coin prière. Chacun disait un mot pour dire merci, un temps de silence et personnel. Une pensée pour un être cher qui nous a quitté.
Le partage : Spontanément, ils ont envie d’aider ou d’offrir un jouet, une peluche, un livre à un enfant qui a moins de chance qu’eux.
Merci Benjamin pour le partage du goûter qu’il nous a offert.
Merci à Nanou de sa présence.
Le samedi 2 février, 70 enfants ont répondu présent pour la rencontre baptême à Lorient dans les salles du Moustoir. Chaque année, une rencontre diocésaine est proposée à tous les enfants de 7 à 18 ans qui se préparent au baptême. Au programme : chorégraphie et saynète, ateliers, temps de prière et remise du bracelet violet des catéchumènes.
« Devenir chrétien, qu’est-ce cela change dans ma vie ? ». La question posée aux enfants forme le fil conducteur de ces rencontres organisées par le service diocésain de catéchèse et animées par plusieurs services et mouvements du diocèse.
La saynète, jouée par les animateurs, était l’occasion de rappeler les points essentiels du baptême : « Dieu connaît le prénom de chacun comme le berger connaît chacune de ses brebis et les appelle par leur nom ». « La croix nous rappelle que Jésus, le fils de Dieu, est mort sur la croix pour nous libérer du péché ». « Dieu nous parle dans la bible, c’est une parole vivante pour chacun de nous »…
« Comment fait-on pour ouvrir les oreilles de son cœur ? » demandait l’un des acteurs. Les enfants présents ont eu les oreilles du cœur largement ouvertes pour chanter, écouter, apprendre, prier. Plusieurs ateliers étaient proposés : décryptage et fabrication d’une icône, lecture priante de la bible, découverte de l’Enfance Missionnaire et de la Délégation Catholique pour la Coopération. À l’atelier de photolangage sur la croix une petite fille a levé le doigt avec assurance : « Dieu n’est pas méchant, il veut nous rendre heureux ».
Isabelle Bourdais, de la commission diocésaine d’art sacré, qui animait un atelier sur la mosaïque de l’arbre de Jessé, remarque, impressionnée : « Les enfants étaient très concentrés. Ils savaient déjà beaucoup de choses sur la foi et avaient une vraie soif de l’approfondir. Tout les intéressait, ils posaient beaucoup de questions. Quelle joie de les guider sur ce chemin ! ».
Une décision prise par l’enfant : Pendant les ateliers, parents, grands-mères ou marraines se sont retrouvés de leur côté. Tous ont mis en avant la décision prise librement par chaque enfant de demander le baptême et leur volonté à eux, adultes accompagnateurs, de soutenir son choix.
La rencontre s’est achevée par un temps de prière, avant la remise des bracelets violets des catéchumènes, signe du cheminement des enfants vers le baptême.
Un grand merci à toutes les personnes qui se sont investies dans la préparation de cette belle journée
et pour cette joie partagée tout au long de cette journée.
Le samedi 19 janvier, les jeunes de Caudan et Lanester se préparant à la confirmation se sont retrouvés dans les salles du Plessis pour se préparer au sacrement de la réconciliation.
Jésus, un homme qui pardonne jusqu’au bout… Tout au long de sa vie, Jésus a pardonné. Ses paroles de pardon ont été réconfortantes mais aussi très exigeantes. Jésus invitait ceux qui étaient pardonnés à regarder en face ce qu’ils avaient fait et à changer réellement leur manière de vivre.
Avec la prière du « Notre Père », Jésus nous aide à trouver la force d’aimer et de pardonner comme lui. Le pardon est comme un pont là où le mal sépare et crée un vide. Il ouvre les portes sur un avenir où la confiance est plus forte que la méfiance.
On ne fait pas toujours que des choses bien ! Le mal, ce n’est pas seulement les guerres, le racisme, la pollution… Même les enfants sont capables d’être méchants, de rendre les autres malheureux… Toi aussi, tu peux être parfois responsable. Quand tu te disputes avec ton meilleur ami, tu es triste et tu as le cœur lourd.
Pardonner n’a rien à voir avec l’oubli, c’est « remettre sa dette à quelqu’un » par les mots. Le péché, c’est faire de la peine à Dieu et aux autres en choisissant le mal plutôt que le bien. Un péché est différent d’une bêtise : c’est dire ou faire quelque chose de mal volontairement comme : voler, désobéir, se venger, mentir.
Quand tu sais que ce que tu fais est mal, tu commets un péché. Dieu t’aime toujours, mais toi, tu te détournes de lui. Cela t’éloigne de Dieu et pourtant Dieu continue de t’aimer. Il t’attend et il te donne toujours son pardon si tu le lui demandes.
C’est difficile de demander pardon. Mais, si tu fais la paix avec lui, tu retrouves la joie d’être son ami.
Par le sacrement de réconciliation, nous reconnaissons ce que nous avons fait de mal et nous recevons le pardon de Dieu : c’est le moment merveilleux où nous redevenons son ami. Alors notre vie change : cela nous redonne notre position d’enfant de Dieu revivifié par son amour. Dieu est totalement victorieux dans notre vie : nous sommes rassurés.
Merci au Père Olivier et au prêtre de Quéven pour avoir pris du temps pour nos jeunes.
Le samedi 19 janvier, les enfants se préparant à la première communion se sont retrouvés au presbytère pour le sacrement du pardon de 9h à 12h. Et le dimanche 20, ils ont reçu la croix, accompagnés de leur aîné dans la foi.
Premier temps : reconnaître sa faute avec la bouche, avec les mains, avec les yeux, avec les oreilles, avec les pieds, avec le corps.
Puis regretter. Reconnaître son péché, c’est bien, c’est un grand pas… Le regretter en est un autre.
Enfin changer : c’est retourner vers l’autre, retrouver le chemin de la communion… C’est une voie laborieuse, surtout si on l’emprunte seul. Ne jamais oublier que, sur cette route, Dieu nous aide. Il nous donne la force de la réconciliation, le courage de revenir vers l’autre.
Petite histoire : Deux amis marchaient dans le désert. À un moment, ils se disputèrent et l’un des deux gifla l’autre qui écrivit dans le sable : « Aujourd’hui, mon meilleur ami m’a giflé ». Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent une oasis dans laquelle ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé faillit se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre : « Aujourd’hui, mon meilleur ami m’a sauvé la vie ». Celui qui avait donné la gifle et sauvé son ami lui demanda : « Quand je t’ai blessé, tu as écrit sur le sable et maintenant, tu écris sur la pierre. Pourquoi ? ». L’autre répondit : « Quand quelqu’un nous blesse, nous devons écrire dans le sable où les vents du pardon peuvent tout effacer. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre où aucun vent ne pourra jamais l’effacer ».
Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Merci aux enfants pour ce temps partagé à préparer le sacrement du pardon... pas toujours facile d’aller rencontrer le prêtre.
Merci au Père Sanctus pour l’accueil qui a mis à l’aise nos enfants.
Merci aux aînés dans la foi d’être toujours fidèles pour l’accompagnement des enfants lors des célébrations.
Merci Yllan pour avoir pris du temps pour la répétition des chants avec les enfants et pour ta participation pour la remise de la croix.